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Delirium tremens

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Delirium tremens
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15 novembre 2012

La séparation des pouvoirs

Depuis le XVIII siècle les démocrates connaissent, définissent et appliquent la séparation des pouvoirs dans l'intention d'éviter la tyrannie et garantir la liberté des citoyens.

Les trois pouvoirs représentent la force publique et la souveraineté de la nation. Théoriquement l’objectif de séparer les pouvoirs est d'empêcher leur concentration sous une seule autorité. Il faut éviter la cumulation des pouvoirs pour qu'ils ne soient pas exercés de manière tyrannique. Obliger à collaborer les trois pouvoirs est aussi une des conséquences recherchées pour ainsi se produire l'exercice de la démocratie de manière tempérée. Ils ont, en principe, la capacité de s'empêcher respectivement, de se neutraliser.


Dans la pratique on sépare les pouvoirs en créant des autorités distinctes qui auront comme mission l'application de la législation (pouvoir exécutif), la création de la législation elle-même (pouvoir législatif) et assurer le respect de l'application des normes (pouvoir judiciaire). Le contrôle qui exercent les uns sur les autres ainsi que ladite collaboration devront être les garants de la conformité avec les lois.

Les lois garantissent les libertés. Il y a plusieurs définitions de liberté selon que sa formulation soit négative (absence de soumission, de servitude, de contrainte), positive (autonomie, spontanéité et volonté dans le comportement humain), ou relative (dire ou faire tout ce qui n'est pas interdit ou
contraire à l'ordre publique). Cependant il y a une notion importante à tenir en compte, s'agit-il ici de liberté collective ou individuelle ?

Les Constitutions des pays démocratiques garantissent la liberté des individus. On leur concède des droits personnels or lorsqu'on parle de la séparation des pouvoirs il est légitime entendre qu'il s'agit de garantir la liberté collective, de l'ensemble des citoyens et non pas des droits naturels de l'individu. On établie en conséquence une hiérarchie des droits entre les droits de l’État et les droits de l'individu. Ces derniers devront se plier dans le cas où ils vont à
l'encontre des droits du collectif. Or si la liberté individuelle est respecté, n'est-il en soit une garantie de liberté de l'ensemble?

On peut considérer que la première séparation des pouvoirs se réalise en Angleterre. Guillaume d'Orange est appelé par le Parlement en 1688 après que Jacques II soit chassé. John Locke en rédigera un analyse dont s’inspirera Montesquieu dans son ouvre. Plus tard, en 1714 la dynastie régnante en Angleterre (la Maison d'Orange) est remplacée par la Maison de Hanovre. Georges 1er est roi d'Angleterre. Il arrive au pouvoir déjà âgé et ne parlant
pas l'Anglais, se voit dans l'impossibilité de diriger les sessions du cabinet avec ses ministres. C'est pourquoi il va nommer un ministre principal (Premier ministre) sur qui il délègue la direction des séances et il renonce à y participer. En 1782, Lord North suivant la coutume par laquelle le Premier ministre consulte le Parlement pour accord, ressent que celui-ci ne le soutenait pas, il démissionne. A partir de ce moment la norme reste et un Premier ministre qui n'a pas le soutien du Parlement, démissionne. Le Parlement est en toute évidence capable de provoquer la chute du Chef du gouvernement.

Aux États-Unis d'Amérique le caractère fédéral de l’État (suite à l'union des différents États qui avaient obtenu l'indépendance de l'Angleterre), fait adopter aux américains une Constitution avec une séparation des pouvoirs différente du modèle connu, l'anglais. Au régime de cabinet britannique, les américains vont préférer un régime présidentiel. Le Président des États-Unis exerce le pouvoir exécutif appuyé par des secrétaires d'état mais il n'y a pas de
Gouvernement au proprement parlé. Le Congrès de États-Unis formé par l'Assemblée de représentants et le Sénat, exerce le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire est exercé par la Cour suprême. Même si certains juges sont nommés, ils le sont à vie, ils ne sont pas tenus aux aléas des majorités dans les chambres législatives.

En France, le premier à évoquer la séparation des pouvoirs est Montesquieu. Il croit que l'homme qui détient le pouvoir absolu (surtout le gouvernant) est porté à en abuser. Le pouvoir doit annuler le pouvoir. La capacité de se neutraliser entre eux, empêcherait aux pouvoirs d'exercer la tyrannie. Ces idées ont été bien accueillis par les anglo-saxons.

La Révolution française mets en avant des idées qui portent à croire que dans une nation dans laquelle il n'y a pas des séparation des pouvoirs et les libertés ne sont pas garanties par écrit, il n'y a point de Constitution. Rousseau dit que la loi est l'expression de la volonté générale et défend une application de la démocratie directement par le Peuple réuni en assemblée or les constituants ont une lecture de cette formule dans laquelle sans représentation il n'y a pas de Constitution. Ils optent pour une démocratie représentative. La République française a donc remplacé l'absolutisme du roi pour l'absolutisme républicain ou du législateur. L’Assemblée est toute-puissante et la séparation du pouvoir administratif et judiciaire consacre ce qu'on peut qualifier d'impunité du législateur. Le pouvoir judiciaire ne peut pas changer ou interpréter la loi et en cas de doute doit se référer au législateur qui  n'est pas en revanche soumis à l'autorité judiciaire. Ceci se produit comme réaction à la méfiance de la part des révolutionnaires envers les juges de l'ancien régime et leur application arbitraire de la loi. Pour se protéger des juges, le législateur, consacre la hiérarchisation des pouvoirs en France dont le pouvoir législatif détient la suprématie.

Séparer les pouvoirs sans leur doter de la capacité à s'interdire et s'empêcher les uns aux autres de manière réciproque et sur un pied d'égalité, ne peut en aucun cas être la garantie de l'exercice de la liberté puisque le pouvoir prédominant tendra de manière naturelle à en abuser ou exercer de manière tyrannique.

Une séparation des pouvoirs parfaite n'existe pas. On peut croire légitimement que celle dans laquelle le pouvoir judiciaire est indépendant, dans laquelle le législatif et exécutif s'empêchent et s’interdissent, étant de ce fait obligés à collaborer entre eux, représente la séparation des pouvoirs la plus proche d’être en mesure de garantir la liberté. Cependant on constate que celle basée sur une hiérarchie qui produit la suprématie d'une autorité sur les autres est la plus nocive. Elle est portée à en abuser et l'exercer de manière tyrannique.

A présent, le régime actuel a changé par rapport aux jours de la Révolution. Le pouvoir judiciaire est toujours soumis au pouvoir politique. L'exécutif a gagné en pouvoir et c'est relativement rare que le législatif ne soit pas dans le même spectre idéologique que le gouvernement.

De facto nous vivons dans un État dans lequel la Classe politique n'a pas forcement la volonté de servir le peuple mais de se maintenir à tout prix sur leur piédestal avec des privilèges et prérogatives qui rappellent l'ancien régime. On substitue le roi pour un président et la noblesse par les ministres, députés, sénateurs, maires, préfets, etc. La seul différence c'est que maintenant on choisi. Cela fait illusion et nous fait croire que nous sommes pour quelque chose, que nous avons choisit. Or il est évident que cette système des partis est loin d'être démocratique ou représentatif des citoyens.

Des listes électorales fermées, les citoyens n'ont pas le choix d'élire seulement ceux qu'ils souhaitent mais l’ensemble de la liste présenté par un parti. L'accès aux instances de représentation n'est pas ouvert à la Société civil mais aux seuls partis politiques.

La séparation des pouvoirs devrait être une garantie de liberté, cependant l'oligarchie politique professionnelle occupe les fonctions exécutives et législatives de l'état et nomme le juges qui appliquent la loi. Bien que la Constitution de 1958 déclare les Droits de l'Homme et du Citoyen, nous constatons que l'état ne respecte pas ces droits individuels et naturels (de l'Homme) pour imposer par la force, par la violence, des droits généraux abstraits et arbitraires. L'état interdit à des citoyens qui se dissent libres un certain nombre de choses de manière que cette prétendue liberté est limité par l'action coercitive de l'état.

La seul garantie de liberté est le respect de la liberté individuelle.

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17 août 2012

A propos de privé et public.

Il semblerai que plus de 30% des médaillés britanniques aux Jeux Olympiques viennent d'écoles privées. Coïncidence? Non.

Un, les gouvernements (tous) économisent de l'argent sur des choses qui ne produisent pas tels que la santé, l'éducation, etc. Mais ils ont tort, car elles rendent à long terme, mais qui se soucie de quelque chose qui va se produire après leurs départ à la fin du mandat?. C'est dans la santé, l'éducation et autres entreprises privées qu'on atteins l'excellence car dans le secteur privé on investi de manière réfléchi.

Deux, la privatisation est un moyen de créer de la richesse et de stimuler la productivité et la compétitivité. Cependant les organismes publics fonctionnent la plupart du temps au ralenti, avec trop de personnel, pas toujours bien qualifié, mal gérée, en se soumettant à des aléas politiques et en supposant un frein pour l'état et tout cela payé par le contribuable.

Nous devrions d'abord supprimer l'état. Cette entité qui taxe, contraint et exploite les citoyens qu'il est censé protéger pour en bénéficier à la Classe politique dominante.

L'abolition des frais, taxes, TVA qui nous est imposé (NOUS EST IMPOSE! Oh combien démocratique!) par l’État sous peine d'amendes, d'emprisonnement, etc. et le libre-commerce verrait la société civile revitalisée et
avec plus de capital pour investir elle serait  en mesure de créer plus de richesse, plus d'emplois, moins de précarité économique, une plus grande sécurité d'investissement, etc

Les libertés individuelles sont constamment bafoués par l’État. Avec l'impunité absolue. L'oligarchie politique a créé un système pour s'enrichir eux-mêmes et exercer le pouvoir au détriment de leurs concitoyens. Ils nous ont divisé pour mieux régner. Ils ont créé des tensions sociales et se sont même permis de fausser l'histoire afin de nourrir les divisions qui nous empêchent de voir qu'eux ils sont unis.

Où a-ton vu que les communistes sont des capitalistes? Du moins, la doctrine socialiste ne préconise pas de telles pratiques que je sache. Et pourtant, nous voyons des membres de IU (équivalent au Partie de Gauche français) et des syndicats majoritaires placés dans des postes de responsabilité dans les Caisses d’Épargne. N'en parlons même pas de PP (droite) et PSOE (gauche). Le scandale est majuscule. Les partis politiques sans distinction se remplissent les poches et font l'objet de financements illégaux ou obscures.

Mais ils ne se rendent pas compte les espagnols? Si nous avions besoin de preuves, voilà une. Ils ne se soucient pas des idées, ce qui compte ici c'est le business. Que la démocratie espagnole a été créée par des franquistes, monarchistes, socialistes, communistes, séparatistes, nationalistes, etc. Tous ensemble. Le Peuple, continue à voter les uns et les autres sans se rendre compte qu'eux, se sont mis d'accord. Ils se sont partagé le butin sans se soucier si leur système de Taifas est réalisable, si le terrorisme resterait un problème pour la société dans son ensemble, si après un certain temps ça finirait par se saturer et d’exploser . Qui s'en soucie? Si vous avez été enrichi, si vous-êtes déjà dans les livres d'histoire. Si certains qui sont partis, maintenant ils touchent une pension qui leur est versée par les atrocités qu'ils ont commis contre leur Peuple. Qui plus est payées par ce Peuple lui même.

Ils parlent de Mémoire historique pour les victimes de la Dictature franquiste. Pourquoi pas le leur appliquer à eux. Qu'ils paient leur outrages. Que les crimes commis contre la société ne prescrivent pas. Que ceux qui ont détruit l'économie du pays payent pour cela. Qui a ordonné des crimes pour lutter contre le terrorisme paye pour cela, que celui qui a fait des opérations illégales paye pour cela. Et j'insiste, que leurs crimes ne prescrivent pas.

Dans une entreprise privée ce qui fait une erreur paye. En plus de la discrétisation personnel, il y aura des amendes, la prison, etc. et bien entendu le bilan pour son affaire. Pour mal gérer votre capital. Lorsque cette entreprise et ce capital est l'Espagne, tout est permis. Personne ne paye. Il n'y a pas de discrédit, d'amende ou prison.

Nous devons supprimer le pouvoir de l'oligarchie politique qui a gouverné l'Espagne comme une république bannière. Un étude récent indique que la corruption en Espagne atteint le même niveau qu'au Botswana! Il faut créer les mécanismes nécessaires pour que cela ne se reproduise plus. Qu'un président, ministre, juge ou qui que ce soit, paye leurs méfaits comme de vulgaires criminels. Si vous volez quelqu'un c'est grave et l'auteur mérite d'aller en prison. Voler à toute la Nation est encore pire et mérite d'aller plus de temps en prison.

Cela nécessite d'effacer complètement le système judiciaire espagnol dans lequel les magistrats sont nommés par des politiciens. Le pouvoir judiciaire doit être indépendant. Libre. Délibérer et exercer le droit sans ingérence politique. L’État doit cesser d'intervenir dans l'économie et les finances. Supprimer la Banque centrale.

Cette société dans laquelle le socialisme des uns et des autres a créé une masse d'assistés. Un peuple habitué à l'aide de l’État et qu'on leur fasse une partie du travail. Il s'agit d'une cession de la Liberté et je refuse de l'accepter. Les nazis dissent, «Le travail vous rendra libres» et même au risque d'être mal compris, je pense que c'est vrai, pas que les nazis avaient raison, mais que le travail vous donne indépendance financière et cela indépendance politique. Une personne qui travaille est libre de faire beaucoup de choses. Une personne vivant d'aumônes, chômage, etc. n'est pas complètement libre (personne ne l'est, je sais), il dépend des autres. Si je vous donne de l'argent et je n'aime pas ce que vous faites je vous le retire. J'ai un pouvoir coercitif non négligeable sur vous. C'est ce que les partis font avec leurs politiques sociales, ils achètent le vote avec leurs aides et vous êtes pris au cou, car vous dépendez d'eux. On vous abruti et on vous habitue à ne pas travailler et vivre des aides sociales. Vous devenez des moutons.

Un marché libre où le commerce prospère sans droits de douane, taxes et autres herbes étatiques, ne peut produire que de la richesse et des emplois pour tous. Le problème? Ce fameux principe socialiste de la répartition des richesses. Et qui crée la richesse si ce n'est pas le capitale? La politique sociale de donner des privilèges et des aides est une des causes de la pauvreté. Pourquoi? Parce que le destinataire de cet argent n'a pas besoin de travailler. Donc on retire du marché un travailleur qui est en conséquence incapable de produire et il a aussi un coût pour la société parce qu'il reçoit un soutien financier. Absurde travailler si je touche de l'argent de l’État se dissent certains. Ne comprenez-vous pas? Le socialisme crée de la pauvreté, arrête le progrès et provoque l'augmentation des tensions sociales, ce qui est le combustible de leur politique sociale et interventionniste. Qu'il y a des problèmes d'ordre publique dus aux grèves et protestations? On demande à l'état de régler le problème et on lui donne plus de pouvoir, plus d'interventionnisme, plus d'argent pour plus de forces de l'ordre et plus des subventions pour les syndicats qui arrêteront le mouvement social, jusqu'au prochain et c'est reparti. Ce sont les gens qui travaillent et paient les impôts qui soutiennent le système.

La célèbre distribution de la richesse crée le contraire de l'égalité. L'égalité réside dans les mêmes possibilités offertes à tous les individus sans distinction. Dans la même justice pour tous. Dans l'abolition des privilèges. Mais si je donne l'argent à celui qui ne travaille pas, c'est un privilège par rapport à celui qui travaille. Donc il n'y a pas d'égalité. Le socialisme vise à donner une partie de l'argent de ceux qui produisent à ceux qui ne produisent rien. Où se trouve l'égalité? C'est de l'injustice.

Ce qu'il faut faire est créer des emplois. De quelle manière? En investissant du capital, les entrepreneurs créent des entreprises qui vont créer des emplois et créer de la richesse qui sera ré-investi et on ré-commence la boucle. C'est le seul moyen de sortir de l'impasse économique dans laquelle nous sommes engagés.

 

18 juin 2012

Le futur de l’État social?

En France, si vous achetez une propriété immobilière vous devez en payer le prix.

D'abord l’État s’approprie la terre, de quel droit?. Celui de la force. Avant c'était la Monarchie qui s’attribuait les propriétés par le droit divin du roi. Puis, après la Révolution l’État s’appropria les propriétés des nobles, de l’Église et de la Monarchie même.

On peut imaginer que la Révolution a permis une répartition de la terre et de la richesse plus équitable. Et bien non. Le Peuple fait la révolution encadré par la Bourgeoisie et ses idéaux socialistes (en Russie pareil) mais il va continuer à crever de faim. La différence maintenant c'est qu'il faut enrichir non pas une famille royale et sa cour mais une oligarchie de politiciens qui n'ont même pas le courage (qu'avaient certains rois) de se battre pour leur argent et leur position. Ces lâches envoient au combat leurs généraux et leur Peuple à travers la Conscription. Au nom de Dieu et le roi se substitue la Nation, la Patrie, le Peuple... mais c'est pour la Classe politique que les prolétaires et les paysans sont envoyés au front.

Souvent les rois commandaient leurs troupes eux mêmes et risquaient et perdaient leurs vies au combat. François Ier par exemple, fut fait prisonnier à Pavie. Je n'ai pas vu un président ou un premier ministre de la République au front hormis les militaires. Même De Gaulle a fait appel à se battre contre l’envahisseur allemand sans prendre le moindre risque pour sa personne. Napoléon au moins était avec ses hommes en campagne et à Toulon il a chargé à la tête des troupes contre les britanniques. Bref, la Classe politique qui nous gouverne est formé par un tas de lâches, assassins par procuration, voleurs et mafieux. D'abord en s’appropriant de tous les biens fonciers du territoire national au nom de l'état. J'aurais aimé que ces biens soient partagés parmi tous les citoyens.

Si un citoyen souhaite acquérir un terrain pour planter des patates, construire sa maison ou monter une entreprise, il doit l’acheter. Cet argent qui va à l'état (toute propriété privée fut un jour expropriée par l’état lors de la Révolution), on est en droit d'imaginer qu'il sera employé en services publiques tels que la santé ou l'éducation or on nous demande des impôts et des cotisations pour cela. On est en droit de se demander où est l'argent des ventes foncières depuis la Révolution. Mais l'arnaque ne s'arrête pas là. Une fois que vous êtes propriétaire de votre maison et qu'elle est payée, il faut payer une taxe foncière pour le restant de votre existence. C'est à dire, que l'état des voleurs s'assure que même si la terre ne lui appartient plus, il puisse continuer à en tirer profit.

Ce n'est pas fini. Vous passez votre vie à travailler et mettre de l'argent de coté pour pouvoir créer un patrimoine pour vos enfants et voilà que l'état vous dit qu'il faut payer pour que ce bien, qui vous appartient, passe en possession de vos enfants. Pour hériter, il faut payer. Et vos enfants paieront à vie la taxe foncière et leurs enfants à leur tour et ainsi de suite. Bref, une vraie mafia et celle-là on ne la met pas en prison.

Personnellement cette situation me révolte. Une taxe d'habitation serait justifiée par les services que la commune prête à ses résidents or la taxe foncière est tout simplement du racket organisé. Un procédé mafieux. Voilà un des procédés de l’État français. Mais le Peuple qui a fait la Révolution la plus importante de l'Histoire, c'est aujourd'hui un ramassis de moutons.

Certains illuminés défendaient que si on veut vivre en communauté il faut accepter les normes. Certes or faut-il encore que ces normes soient discutées et acceptées pour chaque citoyen qui adhère et non pas l'imposer unilatéralement de manière absolutiste. Quoi faire si je ne souhaite pas vivre dans cette société fasciste et être un mouton de plus?. Où faut-il que j’aille?. Au Pôle sud?, les États se sont repartis les territoires de l’Antarctique... Encore une fois, de quel droit?

Si je pars m'installer quelque part dans la montagne, par exemple, pour vivre à l'écart de la société et en autarcie, que se passerait-il? Qu'un jour ou l'autre un type du coin ne supportera pas ma liberté et me dénoncera aux autorités. Que si je ne paye pas les mêmes impôts que lui, que si les taxes... Ou bien une simple patrouille de la Gendarmerie me croisera tôt ou tard et ils me demanderont ce que je fais là. Puis ils me diront que je n'ai pas le droit d'être là, de vivre sur un terrain public et ils me colleront un PV. Mais s'il est public... il m'appartient car l'état c'est tous. Pure fantaisie, ils m'obligeront tout simplement à retourner dans cette société dont les illuminés disent qu'on doit respecter ou quitter, or à présent c'est impossible de la quitter en toute légalité car c'est illégal d'être libre.

Alors, que doit-on faire? On devrait créer des communes et instaurer la Castle Doctrine des Américains? Au lieu de se protéger des criminels de Droit commun, on devrait se défendre des Forces de répression démocratiques (autrefois appelées Forces de l'ordre), car en démocratie c'est l'état qui détient le monopole de la violence. C'est bien l'état le criminel le plus dangereux pour le Peuple. Racket, escroquerie, violences, vol, meurtre, etc. En bons citoyens nous lui donnons la légitimité de nous menacer, sanctionner, punir, maltraiter, taper, enfermer, etc.

Combien du temps faut-il encore attendre pour que les travailleurs ouvrent les yeux et disent, assez! Car il n'y a rien de plus antinaturel à présent qu'un travailleur socialiste. C'est la Classe travailleuse (prolétaires, paysans, commençants, entrepreneurs, libéraux, etc.) qui payent les impôts. Ce sont eux qui soutiennent avec leur travail et leur épargne la Classe politique qui nous gouverne et ceux qui vivent de la solidarité imposé par l'état. C'est nous, travailleurs, qui avec notre effort payons pour tous ceux qui ne travaillent pas. Comme peut-on être socialistes? Et pourtant, c'est ce qu'on vote depuis toujours, socialisme de droite ou de gauche peut importe mais les travailleurs n'arriveront plus à tenir l'ensemble de la Nation car un jour ils seront plus nombreux ceux qui ne travaillent pas que ceux qui travaillent. Qu'arrivera-t-il ce jour là?

 

13 juin 2012

Omaba socialiste

Lorsque le Parti Démocrate allez se manifester sur leur candidat à la Maison Blanche entre Barak Obama et Hillary Clinton, j'étais curieux de savoir si les américains sont plutôt machistes ou encore plus racistes.
Puis il s’avérait que les USA sont prêts pour avoir un président afro-américain mais pas encore une femme. Après coup, à l'image du compagnon de Walker Texas Ranger, Barak est devenu un noir très, mais très cowboy. Au point que je me demande si les républicains n'ont pas miser tout sur lui contre Clinton en croyant qu'ils allaient perdre la présidentiel.
 
Si Crazy Horse, Sitting Bul, Lame White Man et compagnie voient ce qui se passe... un noir à la Maison Blanche! Eux qui ont battu le héros yankee Georges Custer (l'assassin des femmes et enfants) 11 ans après le Guerre de Sécession. Depuis la fin de la dite guerre jusqu'à nos jours, il a fallut aux noirs américains un peu plus de 100 ans pour y arriver à en placer un sur leur Élisée à eux. Ces Indiens qui ont gagné la bataille de Little Bighorn en 1876 seraient à présent tout près d'y arriver s'ils avaient accepté l’esclavage et attendre que les blancs se décident à se battre entre eux pour leur donner le droit à la liberté. Aujourd'hui ou bientôt un président indien serait possible. Il condamnerait (lui aussi) des arabes à la prison à vie et ils comprendront enfin ces blancs qui les ont d'abord colonisé, puis envahi et ensuite exterminé. Mais non, finalement le président indien se rendrait compte que c'est bien comme ça et il s'y mettrait lui aussi à faire le blanc.
 
Mais non, l'Homme blanc est arrivé une Bible à la main et les Peaux rouges avaient eux les terres. On leur a dit de fermer les yeux et prier. Lorsqu'ils rouvraient les yeux, c'est les Indiens qui tiennent la Bible à la main et les Blancs les terres.
 
Ce qui est curieux c'est que M. OBAMA est devenu un petit peu trop socialiste pour nos copains américains. Certes il y a des personnes qui ont besoin d'aide mais ce phénomène d'aide social ne peut que faire déraper les USA vers le système des états d'Europe occidentale. Les assistés et parasites qui vivent de la solidarité forcée des travailleurs deviendront légion et des nouvelles expectatives de survie se présenteront aux étrangers qui songent passer la frontière américaine de manière légale ou pas. 
 
Fournir les USA d'un système social à l'européenne est le condamner au socialisme, ce dire à la chute d'une société prospère. Les signes sont évidents. Ils essayent déjà de désarmer aux citoyens par le biais de la législation. C'est un pas.

 
 
 

 

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